"One life, no ecstasy"


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Le 1er septembre dernier, Louis, un étudiant en droit de 21 ans, perdait la vie à la suite de l'ingestion d'un comprimé d'ecstasy. Son père, Martin Chassang, a créé l'association "one life, no ecstasy" "pour empêcher que d’autres jeunes, comme Louis, perdent la vie un soir de fête."

"L’ecstasy c’est devenu d’une telle banalité. On en trouve partout, que ça soit dans les soirées, les festivals, dans la rue, dans les écoles… C’est devenu la petite pilule colorée qui remplace le cocktail que nous on pouvait prendre au même âge et qui, surtout, coûte moins cher. Aujourd’hui, un comprimé vaut cinq, parfois 10 euros seulement. […] Nos enfants ont cette capacité à faire leurs propres choix dès lors qu’on trouve les mots justes et qu’on libère la parole sans être moralisateur. […] Il faut continuer de faire la fête, il faut continuer de s’amuser mais il faut aussi être prudent, de même que vous n’accepteriez pas d’un inconnu qu’il vous donne une boisson sans savoir ce qu’il y a dedans, n’acceptez pas un cachet dont vous ignorez la composition", a déclaré le père de famille médecin auprès du site aufeminin.

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