Rebondissement dans l'affaire : "Les fricoteurs" !


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Ainsi, après avoir présenté mon refus de collaboration avec et à chacune de ces maisons d'édition, par courrier électronique et dans le plus grand respect, je tourne la page et me concentre donc sur mon blog.

Au terme de quelques semaines de dur labeur à la création de ce dernier, je parviens à la réalisation de différents articles que je publie ensuite.

Un matin ensoleillé, l'humeur joyeuse, en raison d'un retour positif sur certains de mes articles, dont des blogeurs, ayant lu quelques-uns de ceux-là, m'ont encouragé à poursuivre dans cette voie-ci, je m'assieds comme à l'habitude sur ma chaise devant mon ordinateur, prête à attaquer une belle journée d'écriture.

Comme chaque début de journée, je consulte ma boîte mail. Et là ! Surprise ! Un des éditeurs me relance ! Et quelle relance ! Sans la moindre gêne, celui-ci me demande de lui donner le nom de la maison d'édition avec laquelle j'aurais signé un contrat de publication, prétextant une curiosité personnelle et professionnelle de sa part et s'engageant, entre parenthèse, à ne pas m'importuner si je lui révèle cette information. Sachant que, d'une part, je n'ai jamais mentionné un engagement avec qui que ce soit, mais avec ailleurs, et ce qui ne veut pas dire grand-chose. Et d'autre part, il semble que la bienséance n'a pas dû effleurer l'esprit de cet éditeur.

"Quel toupet ! Tout de même !" Me dis-je alors ! Les bras m'en tombent ! Il m'est déjà arrivé dans le passé d'avoir eu un échange de courrier quelque peu désobligeant, mais là, c'est le pompon ! Surtout, venant de cet éditeur, celui-là même qui s'était permis de me donner un cours sur le professionnalisme et le sérieux dont il était empreint ! A mourir !

Quelle réaction devrais-je avoir ? Que devrais-je lui répondre ?

"Cher ami, j'ai entendu parler de maisons de bonne tenue dans lesquelles s'enseignent les bonnes manières !" Ou "Dis-donc, t'es gonflé de me demander un truc pareil ! En quoi ça te regarde ?" Non, je ne peux écrire cela... je jouerai le même jeu que le sien !

Ne trouvant alors aucune réponse à lui apporter, je ne lui en donnerai finalement aucune et attendrai son autre intervention ; je doute que cette histoire s'arrête là ! Je vais donc patiemment laisser le temps au temps afin de vérifier son degré d'importunité !

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